C'est un échange gagnant-gagnant

Bertrand, de France, a fait plusieurs fois avec sa famille l'expérience d'accueillir des jeunes au pair : plus la famille avance dans son expérience, mieux ils savent sur qui porter leur choix la fois suivante.

Bertrand et sa famille en France

Ksenia était très attirée par Paris

2013-2014 est notre troisième année consécutive de processus au pair. Nous avons accueilli Ksenia, de nationalité russe il y a deux ans pour 6 mois. Si tout s'est bien passé, les attentes de Ksenia n'étaient pas réellement atteintes. Ksenia trouvait que Lille, la capitale de notre région (plus de 200.000 habitants) était une petite ville. Elle était en fait très attirée par Paris, où elle est partie l'année suivante. Son attrait pour les enfants était également un peu limité.

Beata de Pologne, les enfants l'adoraient 

L'an dernier, notre choix s'est porté sur Beata, de nationalité polonaise qui s'est totalement et plus facilement acclimatée. Les enfants ont adoré les moments passés à ses côtés et les crêpes qu'elle leur faisait tous les jours ! Beata a terminé son contrat en juin, mais est repassée nous dire bonjour il y a quelques jours puisque, tout en abandonnant le processus au pair, poursuit ses études en France cette année.

C'est un plaisir d'avoir toujours des nouvelles de nos jeunes au pair

Nous avons accueilli Valéria depuis le début du mois, et plus nos expériences avancent, plus nous sommes enchantés de la qualité de notre recrutement. Je conseille réellement le recours à un jeune au pair, à la condition de ne pas le considérer, comme je peux l'entendre parfois, comme un simple employé de maison. C'est un échange gagnant-gagnant et c'est un plaisir de conserver des nouvelles des jeunes que nous avons accueillis.